jeudi 22 octobre 2009

La femme de l'autre...

C'est Elle qui m'a téléphoné.
Lui, il suivait ses désirs, à Elle...
Il prenait, disait-il, du plaisir à savoir qu'Elle prendrait le sien avec moi...
Les détails de la rencontre réglés au téléphone, j'arrivais chez eux en milieu de soirée.
Lui était habillé mais Elle ne portait qu'une nuisette légère, rouge sang, qui rehaussait parfaitement le teint de sa peau claire. Tout était dit avant le premier mot.
Pourtant, nous avons parlé longtemps, de tout et sur tout...
Je me fis expliquer les règles de leur jeu, car j'ai appris, avec le temps, que celui qui arrive ne vient pas prendre la femme de l'autre, il vient s'insérer dans leur jeu.
Elle me pris dans sa bouche au moment ou je finissais un verre de vin.
Ses grands yeux de salope soutenaient bien mon regard et Elle prenait plaisir à me montrer comment Elle faisait entrer et sortir ma queue dans sa bouche...
Il s'en passa beaucoup dans les heures qui suivirent.
Elle me donna autant j'espère que je lui en pris.
Tantôt doux, tantôt dur, je jouais la palette de mon jeu d'enfant vicieux qui ne demande pas puisqu'il ignore que ce qu'il prend appartient à quelqu'un...
Je la pris, lentement, profondément, devant Lui qui jouait avec son sexe et qui venait se mêler à mon jeu, dans son jeu... Elle, offrait sa chatte et son cul, je prenais, je jouissais...
Mais tout était à eux...
Car il ne faut pas se tromper sur la règle du jeu...
Quand votre queue entre dans sa chatte à Elle, c'est son jeu à Lui que vous faites, car vous êtes son membre supplémentaire, l'autre queue dont il a besoin pour la baiser Elle.
Le sexe qu'il lui fallait pour enculer sa femme en même temps qu'Elle le suce, ou celui qui lui manque pour jouir dans sa bouche et dans sa chatte en même temps...
Le jeu joué, je me retirais... D'Elle, puis de chez eux...
Quelques jours plus tard, Elle m'envoya un message pour me dire qu'Elle - et Lui - avaient aimé cela...
Mais je ne joue ce jeu qu'une seule fois.
Il s'agit de ma règle, à Moi !

B.Biroute

lundi 5 octobre 2009

Je ne fume pas !!!

Pardon, pardon !!!

Je suis coupable, cent fois coupable d'avoir laissé ce blog sans écrits durant trop longtemps...
Mais, c'est qu'il m'en est arrivé des choses les petit(e)s amis !
Des vertes et des pas mûres, mais surtout, vous vous en doutez, des histoires de seins et de fesses...

Alors, vous allez vite me pardonner en lisant dans le détail mes dernières petites aventures sexuelles...

Et d'abord, sachez que je n'aime pas le cigare !
C'est ce que j'ai dit à mon pote Long Dick John, qui, revenant d'un séjour totalement sexuel à la havane, avait eu l'idée de me rapporter un Gran Corona, au fumet délicat et à la douceur incomparable... Enfin ça, c'est Long DJ qui le dit parce que moi, je ne fume pas le cigare...

Mais alors que faire ? Je ne pouvais me résoudre à décevoir mon ami de longue (appréciez le jeu de mot) date, et j'acceptais donc uniquement l'étui du cigare en lui promettant d'en faire très bientôt bon usage !!!

Ce fût rapidement chose faite par la grâce de mon incomparable miss Perfect Ass qui, après avoir joué de la touyette, se portait volontaire pour une version légèrement plus hot que la Levinsky Party de ce cher Bill !!!

Rien n'est plus beau qu'un objet qui entre et qui sort d'un cul !

Ne dites pas le contraire... En tous cas, moi vous me donnez un cul et je peux jouer avec pendant des heures... si si, je vous assure !

C'est que, mon imagination quelque peu débridée, me conduit souvent à trouver un usage bien particulier pour bien des objets que chacun réserverait à la vie quotidienne...

Car, n'est ce pas là, le luxe des artistes - car oui, je me considère d'une certaine façon comme un artiste du cul (Anonym Ass Artist) -, que de faire rentrer et sortir un objet d'un petit trou et de trouver ça magnifique ?

Rien que pour cela, sois bénie entre toutes les femmes, ma douce, ma très anale Perfect Ass, toi qui reçoit avec bonheur et tant de délicatesse les fruits de mon imagination débridée...

Bob B.

(comme dans tous mes posts, les photos sont des clichés pris sur le "vif")

lundi 13 juillet 2009

Eva aime ça !!!

J'avoue, des fois il m'arrive de douter...
En tous cas, de me poser des questions ! Rien de grave me direz-vous...
Oh, ce n'est pas que j'éprouve le moindre remord pour ma conduite amorale ou pour mes désirs sexuels que certains peuvent considérer comme "contre-nature" ...
Non, c'est juste que je me demande si nous les libertins, les amoureux du cul, des chattes et des seins, nous sommes les enfants perdus du sexe ou les libres penseurs d'une société étriquée et conservartrice...

Et parfois, quand l'adversité vous fait douter, quand le conformisme et les principes à la con vous poussent à vous poser quelques questions à l'occasion d'une soirée bien arrosée... Alors parfois... rarement...

Un ange vient à votre secours... Eva Longoria ! Oui, la tendre et délicate Eva... La gracile Eva...

Eva qui a déclaré récemment qu'elle trouvait très "sexy" d'être soumise et même qu'elle aimait "être attachée avec des foulads en soie pendant l'amour"...

Ah merci Eva... Vite un magasin qui vend des carrés Hérmes !!!

B.B-Root

mercredi 8 juillet 2009

Montréalfornication...


Regarde ton film me dit-elle... laisse moi faire !
Affalé dans mon canapé, un verre à la main je pressais sur le bouton "on" de la télécommande tandis que j'entendais le zip discret de la fermerture éclair de mon jean qui glissait vers le bas...


Elle, s'était laissée descendre doucement jusqu'à terre, s'intallant entre mes jambes pendantes pour m'offrir, en plus de sa bouche sur ma queue, la vue de ses fesses en perspective de la télé...
Californication commençait... Hank Moody, l'écrivain héros de la série y culbutait sans grand entrain un quadra complètement bourrée... De mon côté de l'écran, un bouche descendait doucement sur ma queue au rythme que, négligement, ma main imprimait à le tête de la belle qui faisait aller et venir avec application ses lèvres sur mon gland....
Je sirotais mon verre , un oeil sur le cul qui se trémoussait dans mon salon au rythme de la bouche qui me suçait et l'autre sur ma série tv préférée... Que demander de mieux ?
"Tu veux pas me prendre les fesses ?" me dit elle après avoir eu l'audace de cesser de me sucer sans mon approbation ?
Voilà, on y était, Montréal dépassait largement le vice californien et moi, mieux que Hank Moody, j'allais enfiler ma belle de la façon que j'affectionnais le plus...
Montréalfornication... Rien à dire... juste bander bien dur et se faire plaisir...
BBR

jeudi 2 juillet 2009

Apéritif...


Elle était passée boire un verre...
Envie subite certainement...
Parfois mon imagination dévie, mes idées prennent des chemins de traverse...
J'ai versé deux verres, après avoir bu le mien,
je ne savais quoi faire de la touyette...
BBR.

lundi 29 juin 2009

Le fauteuil Louis XV


La chambre était vaste, aux fenêtres de lourds rideaux pourpres occultaient la lumière du jour.
C'était dans un appartement immense et un peu vieillot comme il y a en beaucoup dans certains quartiers de Paris... Il sentait le bois, la cire et la poussière...
Elle y était hébergée pour quelques semaines, de passage à Paris, entre deux avions, deux pays, deux hommes...
Nous nous sommes rapidement retrouvés dans cette chambre à l'obscurité lourde et suspecte tandis qu'au dehors le soleil brulait le bitûme et assomait les passants...
De la fenêtre entrouverte sur la rue, nous pouvions entendre les voix des gens, bruits, cris et gesticulation des enfants, alors qu'entre les murs de l'appartement le silence régnait en maître...
C'était le jour J. Le jour S, devrais-je dire...
Elle me l'avait promis et malgré ses craintes j'allais enfin y avoir droit.
C'est cruel, mais l'on parvient souvent à ses fins quand on est patient et que le désir vous brûle d'obtenir ce que vous voulez... Un peu d'insistance, quelques allusions, des supliques et beaucoup de doigté...
Ah, le doigté... C'est comme cela que je l'avais apprivoisée, rassurée, attendrie et excitée...
Le doigt qui glisse, qui suit la ligne interdite du sexe au petit rond sombre et serré qui nous fait tellement fantasmer... Cette petite rondelle qu'en secret on franchit cent fois avant d'en forcer tendrement ou violement, c'est selon, le délicieux passage...
Elle avait donc dit "oui, aujourd'hui, c'est sodomie"...
C'est la soiré S... LA soirée tant attendue... Tant espérée, tant soupirée...
Ma queue n'en revenait pas et les signaux hallucinés envoyés par mon cerveau à mon sexe se traduisaient pas des battements lourds et puissant qui faisaient durcir mon sexe contre ma cuisse...
Je peux devenir fou en ce moment là, vous savez... Fou de désir, de rage sexuelle, d'envie !
Et ma queue le sent, ma queue l'aime, elle devient dure comme la pierre, droite et puissante comme un manche, comme la vigoureuse branche du chêne...
Cette branche que j'aime serrer vigoureusement dans ma main...
Je peux devenir fou, mais je garde la tête froide même si j'ai le sang chaud et qu'il bat au bout de ma bite comme si j'avais 40° de fièvre...
Je reste calme et tendre car par avance je préssens le plaisir de me sentir enserré dans ce petit orifice qu'il me faudrait forcer avec patience et quelques gouttes de salive...
Juste ma queue dans ton ton petit anus ma chérie et rien d'autre...
Et nous y voilà, dans cette chambre d'un autre temps, cet appartement qui n'est que le repère secret dans lequel le délicieux rituel va enfin se produire... Oh comme je la sens déjà la petite rondelle de ton cul...
Tes petites fesses, telles deux pommes jumelles, serrées dans un ultime et désespéré mouvement de défense...
Mais ma queue est là ma chérie, elle pointe, glisse, va et vient dans la petite fente de tes fesses, passant de temps en temps sur le tréma de ta chatte pour s'imbiber de son jus qui coule abondamment...
Tu ne peux me mentir, même si tes mains tiennent mes mains, même si le petit trou est encore innaccessible, serré au milieu de la forteresse de chair qui te sert de protection...
Et tandis que nous entamons ce ballet de séduction entre ma queue et ton cul, cette danse savante dont le but est de faire disparaitre ma hampe dans les tréfonds de ton corps...
Oui, ma chère, ma chair, ma douce, très douce, profonde, très profonde, chérie...
J'aperçois dans un coin ce fauteuil Louis XV qui nous regarde et me donne des idées...
Celle de te faire monter à quatre pattes sur le fauteuil, faisant face au dossier, tes mains sur les accoudoirs, tes genoux délicats posés sur le fin matelas où tes fesses devraient normalement se trouver...
Et tes fesses... Oh tes fesses, dans cette position ma chérie, ma douceur, tes fesses sont bien en l'air écartées naturellement par ta posture incongue...
Et moi, émoi, derrière toi... Cette vue, ce cadeau, que tu me fais, cette offrande chaude, serrée, toi bien au fond...
Oui ma chérie je fais doucement...
Mais tu ne peux plus lutter n'est ce pas, puisqu'il te faut désormais te tenir aux accoudoirs de ce fauteuil si ancien qu'il branle dès que tes reins tentent de fuir mon gland qui appuie sur le petit rond noir de ton anus...
Mon gland tellement humide, dur, puissant qu'il force millimètre par millimètre, l'entrée de ton petit cul adoré...
Oui ma chérie je fais doucement...
Mouvement désespéré et sans grande conviction, tu tentes de fuir, de sortir ce bout dur et tendre en même temps qui écarte tes chairs, qui ouvre ton corps en deux, qui pénètre en toi si doucement que tu ne sais plus s'il entre ou s'il sort...
Le vieux fauteuil, mon ami, mon allié, qui bouge, qui oscille d'avant en arrière, imprimant à ton corps un mouvement propice à te faire entrer plus profondément encore sur ma queue dure, si dure, volcan, arbre majestueux qui file vers le ciel sombre et noir de ton petit cul...
Moment magique, où, suspendue à ma queue tu ne sais plus si tu dois bouger ou rester pétrifiée entre plaisir et douleur, ta main qui vient serrer mon poignet... Mon gland entré, dépassé l'anneau de chair, tu as mal mais tu commence à aimer, tu veux sans vouloir, tu me repousse mais m'appelle...
Nous sommes là, rivés l'un à l'autre, merveilleux équilibre entre dedans et dehors, plaisir et douleur...
Et je sens, je vois, je lis dans tes yeux... tes fesses qui poussent, qui viennent vers moi, qui empalent un peu encore ton cul, ton tout petit cul sur mon pieu...
Je pousse, tu recule, tu pousse j'amortis, elle rentre, elle rentre ma queue ma chérie...
Et l'oscillation devient balancier, le fauteuil véritable balancoire, le tout articulé autour de ma queue qui entre et sort de tes fesses à un rythme de plus en plus régulier, de plus en plus fort...
Ma queue qui disparaît maintenant entièrement dans ton cul et toi qui gémis, doucement, tendrement comme si tu voulais taire ton plaisir...
Ce plaisir qui monte de mes reins, dans mes jambes jusqu'à ce morceau de chair enfoncé au plus profond de toi et ce sont cette fois mes mains qui serrent tes bras tandis que je sens venir l'instant ou tout explose, la seconde où je ne sais plus distinguer ta chair de la mienne, où j'ignore si c'est moi qui te prends ou toi qui me baise avec ton cul, me tient prisonnier de tes fesses...
Ah, le Diable ou Dieu, que sais-je, la micro seconde ou mon jus innonde ton petit trou, où mes reins échappent à mon contrôle, mouvement désarticulés et pourtant tous dirigés vers l'intérieur de tes douces, si douces fesses...
Ah ce fauteuil ma chérie, comme je l'ai aimé, adoré... mais pas tant que ton cul pour la première fois....

B.B.Root


dimanche 28 juin 2009

Bienvenue à Bord

J'ai longtemps hésité je vous l'assure...
Mais voilà, je ne peux garder tout cela pour moi seul.
Il faut que je vous fasse partager les aventures aussi étranges qu'incongrues qui me sont arrivées ces dernières années.
Oh oui, je sais... Certains vont se dire que mes histoires sont trop délirantes pour être réelles...
Portant, les récits qui suivent sont tous absolument réels...
Bienvenus dans le monde débridé de Bob B. Root !
BBR